Description
Adolescent, il écrivait ses « pensées » la nuit comme on fume en cachette. Il apprend donc à composer les yeux fermés, dans le noir, pour mieux décrire les personnages de l’intérieur. Cela explique pourquoi ne connait pas le syndrome de la page blanche.
Plus tard, le choix entre les math et les lettres est pour lui un véritable dilemme. Choisit l’enseignement des mathématiques pour mieux écrire… éventuellement. Il touche au dessin, à la peinture, et pratique le violon pour revenir à ses premières amours, l’écriture.
Marié, père de quatre enfants, après trente-trois ans de carrière, les paroles de deux chansons, une pièce de théâtre, un recueil de nouvelles, un conte fantastique, des romans, il publie L’orpheline. D’autres manuscrits attendent patiemment l’édition. Écrire demeure la seule façon d’être écouté sans être interrompu.
« Ta voix mérite d’être entendue, qui t’es toujours dissimulée dans l’existence et qui as beaucoup aimé les autres. Tu as eu une enfance difficile parce que tu es devenue orpheline de mère; ton père vous a cruellement abandonnés, toi et tes frères, pour s’amouracher de l’aguichante Noëlla, la boulangère qui n’aimait pas les enfants. Ne connaissant que la vie de couventine, tu t’es faite religieuse jusqu’au moment de réaliser que la vie de couple t’attirait. Déception: le mariage n’était pas fait pour tu n’as pas su trouver l’affection que tu cherchais. Défroquée, tes frères t’ont rejetée, sauf mon oncle Louis, qui lui ne ta pas jugée. Certains ont profité de toi. Des gens qui prétendaient être des amis… »